VTT Mons mars 2014 (Reco 4 et 5 S.E.E., Boucle 2 et 3 / Boucle 1 et Montahut)

 

  • Descriptif Reco 4:

KM:    56.40 km

D+:    2600 m

Durée approximative (hors arrêt):    5h40

VTT utilisé:    Devinci Wilson SE 2010

 

  • Descriptif Reco 5:

KM:    53.90 km

D+:    2500 m

Durée approximative (hors arrêt):    5h40

VTT utilisé:    Kona Satori 29 pouces

 

Reco 1: ici

Reco 2: ici

Reco 3: La troisième sortie de reconnaissance sur Mons c’est passé par temps couvert et le sol était humide. Donc pas de photos ni panoramas, et des vidéos qui sont vraiment pas géniale.

Sortie sur Mons empruntant des passages de la SEE: ici


La reco numéro 4 était une reco que nous avons voulu physique afin de rouler à bon rythme en monté et enchainer un maximum sur les spéciales afin de simuler un niveau de fatigue. Nous étions sensé faire le SP1 de la boucle 1, mais nous avons eu un empêchement, par raison de temps faire la Boucle 1 complète après les 2 autres n’était pas possible. Ce fut un bon test physique, nous étions un peu déçu de pas en faire plus car nous avions roulé pour et il nous restait de quoi faire la dernière boucle dans les jambes.

La reco numéro 5, nous avons fait la boucle 1, et la première partie de la boucle 2, idem par manque de temps nous n’avons pas pu faire la fin de la boucle 2. Nous étions partie pour faire la boucle 1 et 3, mais on à préférer restai avec les copains qui ont fait la boucle 2. De plus cela a permis de voir comment se passai la monté de Montahut avec la boucle 1 dans les jambes, et ça passe mieux qu'à froid.


Résumé Global du circuit complet d’après les informations et trace fourni par l’organisation et la trace de la boucle 3 qui est toujours théorique à ce jour:

La Boucle 1 démarrera de nuit pour une ascension de 600 mètres. Le tout se fait sur piste, rien de bien difficile cela permettra de chauffer. La spéciale numéro 1 ne comporte pas de difficulté technique, ça ne tabasse pas beaucoup, par contre c’est long et si on veut aller vite il faudra relancer au pédalage sur certaines parties. Là où ce sera difficile c’est de rouler vite de nuit, car même de jour avec la vitesse on a vite fait de se sortir, et se sortir à cette vitesse ça fait très mal…
La seconde montée comporte un portage ou poussage de 15 minutes approximativement, si vous voulez vous économiser, il ne faut pas passer dans le rouge, donc essayer d’en monter un maximum sur le vtt ne me semble pas le mieux. Je pense que pour alterner l’effort et s’économiser il vaut mieux porter des que ça commence à monter trop fort. La suite de la monté est tout à fait standard et l’on rejoint le Naudech pour le départ de la spéciale numéro 2, le jour-là sur la trace nous avons fait un petit détour de 2 kilomètres et de 10 minutes. Pour cette ascension, idem à la première, à peu près 600m de dénivelé positif. La spéciale numéro 2 sur le début comporte des passages très engagé avec pas mal de pente. Déjà en 2010 lors de l’enduro de Vieussan, c’est la partie que j’avais préféré de cet enduro. Une fois que l’on recoupe la piste, la partie suivante est très roulante, mais ça roule vite et l’on peut très vite faire une erreur.
La monté suivante est sur piste, encore une fois rien de particulier, çà peu près 250 mètres de dénivelé. La spéciale numéro 3 démarre sur du rapide, de la terre avec slalom entre des arbres et du dévers, encore une fois avec la vitesse ça on peut vite finir au tat ! La seconde partie est déjà plus technique, plus de roches, de marche et d’épingles, ça roule moins vite, une portion que j’apprécie beaucoup, ça ressemble au Vallespir par chez nous. Attention dans cette spéciale 3 de mémoire il y a 2 portions qui remonte plus la partie après la traversé du ruisseau en final (si le pointage est placé comme en 2010).

Retour à Mons, récupération sur la voie verte, puis début de la monté de Montahut ! Ça commence sur du goudron et parfois du béton, bien sur des petites portions un peu raide, mais bon pas besoin de jouer de l’adhérence juste forcer un peu et ça passe, on est sur la route. Arrivé à Auziale c’est la que ça se corse sérieusement, si vous avez trouvé la boucle 1 difficile, alors ici pour vous c’est l’enfer qui commence ! À la sortie d’Auziale commence une piste, d’entré on comprend que ça va monter, on peut se dire tien « encore un coup de cul », du coup on s’accroche pour le passer sur le vtt en se disant on récupère après, mais le problème c’est que là où l’on peut monter sur le vtt ce n’est pas le plus raide, on va dire que ce sont presque des zones de récupération si on veut alterner le portage et le pédalage. Bref après quelques essai sur cette monté, pour moi la solution sera de pédaler tant que ce n’est pas trop dure, et des que la pente s’accentue, plutôt que de fournit un effort trop important, je stop et je porte le vtt. Sur cette piste il y a possibilité d’alterner le portage et le roulage, je trouve même que ça relaxe un peu les jambes. Le tout est de na pas non plus trop alterner, quitte à mettre le vtt sur le dos autant ne pas le faire pour 30 mètres, charger et décharger trop souvent ça fatigue à la longue. Il y a une longue ligne droite presque en haut qui finit à la barrière, l’idéal est de profiter de celle-ci pour pédaler, car après la barrière c’est du portage dans la pente qui rapidement devient un single. Ce sera le dernier avant le départ de la spéciale 1 boucle 2, a peu prêt 850 mètres de dénivelé.
Cette spéciale est plutôt défoncée, on roule sur de la pierre, pas trop de pente mais des lignes droite et des épingles au bout, il faut tenir le vtt avec la vitesse, des suspensions mal réglé qui plus est avec petit débattement et ça devient du marteau piqueur. La partie 2 est un peu différente, il y a des passages plus roulants mais qui demande un peu de trialisant et surtout de la vigilance pour éviter les otb, après ce qui s’est fait plus haut, le physique et la lucidité seront probablement entamé donc attention. La spéciale se termine au village de Le Cross, ce qui est dommage (mais pour le moment pas d’autres possibilité) car ensuite en liaison on redescend encore à la voie verte, soit 150 mètres de négatif perdu et pour la monté la plus difficile de l’épreuve, Montahut ça se paye cher.
Donc retour sur la voie verte un court instant, puis on suit une monté sur goudron, puis un peu de béton et un peu de terre à la fin, rien de difficile il suffit de se laisser monter à son rythme, essayer de prendre la monté comme une récupération après ce que vous venez de faire. Malgré quelques portion un peu raide on reste sur du goudron, à peu près 500métres de dénivelé.
Arrivé au-dessus de Bardou, on emprunte un somptueux single qui démarre en monté, pour le moment aucune idée d’où sera donné le départ. Si celui-ci est donné au début du single ça promet une spéciale très physique, car en milieu de spéciale ça remonte aussi un peu, sans compter que comme Montahut ça descend sur de la pierre et ça tabasse beaucoup. Ce sentier encore une fois est magnifique. Donc des lignes droites, par contre un peu plus de zig zag et petit virages que sur Montahut. Une fois arrivé à Mons on suppose que la spéciale repartira sur un sentier qui demandera un peu de pédalage et des relances, pour finir plus bas toujours à Mons.

De retour sur la voie verte, le début de la monté de la boucle 3 se fera juste après le pont qui L’Orb, une ascension d’à peu près 370 mètres, de la piste mais ça sera un peu plus pentu que le Naudech dans l’ensemble. On rejoint la spéciale 1 de la boucle 3, 70 mètres de négatif, un sentier vallonné au début, puis descendant sinueusement entre les arbres, pour ensuite remonté en ligne droite et régulière après le ruisseau afin de déboucher sur une piste. On peut dire que c’est une spéciale de liaison qui sera bien physique malgré que ce soit court.
Une fois sur la piste on remonte pour 160 mètre de dénivelé, la piste commence doucement puis rapidement la pente s’accentue, ça monte fort puis on emprunte un single ou le poussage sera quasi obligatoire si on ne veut pas se griller avant la seconde spéciale. La seconde spéciale est la plus difficile techniquement, et à mon avis aussi la plus dure physiquement. Cela commence par un single assez rapide et en devers, puis ça commence à être un peu plus technique mais ça reste correct, par contre on alterne des passages en faut plat et des petite remonté dont certaine passe mal ou ne passerons pas sur le vtt. Donc monter et descendre du vtt demandera de l’énergie, et ce n’est pas le top pour la suite, car après juste avant les pylônes il y a un poussage qui demandera encore plus d’énergie, et une fois aux pylones, la pente s’accentue fortement, les passages deviennent très technique et engagé, le tout ne sera pas de lâcher les freins mais de gérer la vitesse pour arriver à enchaine les zones, et ce sera comme cela jusqu’à Vieussan, puis final assez court sur un sentier roulant.
Après la fatigue de la seconde spéciale, on repart sur la route pendant 1.5 kilomètre, profité pour récupérer car la monté qui suit finira de nous achever. Donc 420 mètres à peu près de dénivelé positif pour finir, mais la pente sera très forte, pas aussi long ni aussi dur que Montahut, mais une des portions risque de passer à pieds sous peine de se cramer tout court, en fin de parcours cette monté sera mortel. Une fois en haut le départ du single remonte, alors départ au début du single ou là où il commence à descendre, on ne sait pas. La dernière spéciale est sublime, elle est aussi très physique car en pleine spéciale il y aura des remonté dont une que l’on a fait à pied le jour-là, car ça remonte en technique avec les rochers. Sinon il y a de passages techniques, des épingles, du slalom entre les arbres, bref une spéciale très complète pour finir, une des plus belle avec celle des pylônes et bardou. En fin de parcours cette spéciale est très physique et demandera beaucoup d’énergie.

Voilà, si je devais résumer, je pense que physiquement vu qu’il faut tout lâcher sur les spéciales, cela sera plus dur pendant le spéciales que pendant les liaisons. Pour les difficultés de liaison, on peut considérer que le Naudech (boucle1) est une entrée, un peu longue avec une difficulté au milieu, ensuite la boucle 2 démarre par le plat de résistance qu’est Montahut, la monté la plus dure de l’épreuve. Donc une fois passé Montahut, le Bardou c’est cool en comparaison, même si ça grimpe pas mal, et surtout la boucle 3 elle après ce gros repas, va être bien difficile à digérer, car elle comporte des montés bien physique avec les spéciales les plus dur de l’épreuve.

 

 

  • Trace GPS aux format GPX Reco4:     disponible ici ou sur OpenRunner speudo scjsnow ID n°3349201

 

  • Trace GPS aux format GPX Reco5:     disponible ici ou sur OpenRunner speudo scjsnow ID n°3398633

 

  • Trace vue aérienne Reco 4:

 

  • Trace vue aérienne Reco 5:

 

  • Vidéos mars 2014:

Vidéo partie 1:


Vidéo partie 2:



Vidéo partie 3:



Vidéo partie 4:



Vidéo partie 5:

 

  • Panoramas mars 2014:

 

  • Photos mars 2014: